Questions fréquemment posées

En savoir plus sur les changements potentiels du programme de responsabilité professionnelle. 


Qu'a décidé le RCDSO au sujet du PLP ? 

Lors de la réunion du 7 décembre, le Conseil a demandé au personnel d'étudier la possibilité de transférer le programme de responsabilité professionnelle (y compris le passif actuel et le personnel) à un tiers, dans le but de permettre au programme de continuer à fonctionner, sous une propriété distincte.  

Le Conseil a demandé au personnel d'entamer le processus de passation de marchés sous la direction d'un groupe d'examen des marchés, comme l'a établi le Comité exécutif. Un rapport d'avancement sera présenté au Conseil en mars 2024. 

Les délibérations du Conseil peuvent être consultées ici : RCDSO YouTube

Le PLP accepte-t-il encore de nouvelles demandes ? 

Le PLP continue à fonctionner comme d'habitude et aucun changement n'a été apporté au fonctionnement du programme. La stabilité pour les patients et les dentistes sera maintenue tout au long du processus de transition. Les dossiers PLP, nouveaux et existants, continueront d'être traités de la manière habituelle.  

Dès qu'un tiers aura été sélectionné, des informations supplémentaires seront fournies à tous les inscrits. Un préavis d'au moins 12 mois sera donné à la profession avant le transfert. 

Que recherche le Collège dans un nouveau fournisseur tiers ? 

Les attentes à l'égard du nouveau programme sont les suivantes 

  • Limites minimales de responsabilité, telles que déterminées par le RCDSO. 
  • Modèle d'assurance de groupe, offrant le même tarif pour tous les dentistes (généralistes ou spécialistes) ou tous les types d'actes dentaires pratiqués.  
  • Couverture indéfinie des dentistes s'ils s'installent dans une autre juridiction pour exercer, lorsqu'ils prennent leur retraite ou s'ils décèdent. 
  • Acceptation du libellé actuel de la politique du PLP, ou d'un libellé proche, sans conditions supplémentaires déraisonnables ou exclusions préjudiciables à la profession ou au public. 
  • Couverture dans le modèle de groupe pour tous les dentistes auxquels l'ordre accorde une licence 
  • Intégrer le personnel actuel du PLP dans le nouveau programme. 
  • Soutenir les dentistes au-delà de la procédure de demande d'indemnisation, par exemple en fournissant des conseils pour désamorcer et gérer les situations difficiles, en rédigeant des documents de décharge légale qui permettent d'effectuer des remboursements de manière appropriée, en soutenant et en guidant les dentistes dans le cadre d'une procédure de litige. 
  • Initiatives en matière de gestion des risques. 
  • Des initiatives de gestion des risques telles que des cours de formation continue, des avis/publications et l'exploration et l'identification des tendances dans la profession (par exemple, les blessures, les procédures). 
  • Coût équitable et raisonnable. 

    Avez-vous consulté la profession ? 

    Le RCDSO communique régulièrement avec les inscrits et les parties prenantes par le biais de courriels, de bulletins d'information et des points forts du Conseil. En novembre, le RCDSO a envoyé une enquête à la profession sur ce qu'elle considère comme les éléments les plus importants du programme. Plus de 1600 réponses ont été reçues. Un rapport complet sur les résultats de l'enquête a été présenté au Conseil le 7 décembre et est publié sur le site web ici.

    Que se passe-t-il avec le PLP ? 

    Le Programme de responsabilité professionnelle (PLP) aide les dentistes de l'Ontario depuis plus de 50 ans. Au cours de cette période, de nombreux membres du personnel et du Conseil se sont consacrés à la promotion de la sécurité des patients et d'une dentisterie responsable.  

    En 2022, le Comité d'audit et le Comité des finances, des biens et de l'administration (FPA) ont examiné le programme du PLP, son historique, sa législation, sa structure financière et ont évalué d'autres programmes comparables au Canada. En conséquence, le Conseil a mis en place un groupe de travail d'experts sur l'examen du PLP chargé de procéder à un examen approfondi du programme PLP, de souligner les risques éventuels et de recommander des options pour atténuer ces risques au plus tard lors de la réunion du Conseil de septembre 2023. 

    Le groupe d'experts, composé d'experts en responsabilité et en réglementation (y compris d'anciens membres du Conseil), s'est réuni de février à juillet 2023 et a rédigé un rapport qui a été examiné par le Comité des finances, de l'audit et des risques (FAR) (aujourd'hui). Après cet examen, les conclusions du rapport et l'analyse du comité FAR ont été présentées au Conseil le 21 septembre 2023, à l'occasion d'une réunion du comité FAR.septembre. À cette occasion, le conseil a décidé à l'unanimité que le Collège ne devait pas continuer à gérer directement le PLP tel qu'il est structuré à l'heure actuelle.

    Après une longue discussion, le Conseil a demandé au personnel d'étudier la possibilité de se défaire de la propriété directe et de l'exploitation de PLP. 

    Sur instruction du Conseil, le personnel du RCDSO a élaboré un plan de mise en œuvre, assorti de résultats et de calendriers, et a réalisé une analyse des forces, faiblesses, opportunités et menaces (SWOT) de quatre approches en matière de désinvestissement.  

    Le personnel a présenté au Conseil un rapport sur l'état d'avancement de ces travaux lors de la réunion du 7 décembre.décembre décembre.

    Lors de la réunion de décembre, après avoir examiné les options et les principales considérations, le Conseil a demandé au personnel d'étudier la possibilité de transférer le programme de responsabilité professionnelle (y compris les obligations actuelles et le personnel) à une tierce partie, dans le but de permettre au programme de continuer à fonctionner, sous une propriété distincte.  

    Pour entamer ce processus, le Conseil a demandé au personnel d'entamer une procédure de passation de marchés, en s'appuyant sur les hypothèses proposées et les éléments clés décrits, et sous la direction d'un groupe d'examen des marchés publics, tel qu'établi par le Comité exécutif. 

    Les délibérations du Conseil peuvent être consultées ici : RCDSO YouTube

    Pourquoi la task force a-t-elle été créée ? 

    Plusieurs risques ont été identifiés en ce qui concerne le PLP, notamment les risques de réputation, les risques réglementaires et les risques financiers.  

    Le RCDSO est l'un des rares ordres de réglementation de la santé au Canada à gérer directement un programme de responsabilité interne.   

    Au cours des dernières années, des articles négatifs dans les médias, l'évolution des attentes en matière de réglementation professionnelle et l'engagement du RCDSO à agir dans l'intérêt public ont amené le RCDSO à examiner les avantages, les risques et la pertinence de ce programme non légiféré en tant que département opérationnel de l'Ordre.  

    La mission et la fonction du PLP sont distinctes de celles du reste de l'Ordre, dont le mandat est de "servir et protéger l'intérêt public".  

    L'une des principales responsabilités de l'Ordre en matière de réglementation est de tenir les dentistes responsables des problèmes de conduite et de pratique ; le PLP est le principal fournisseur de protection contre la faute professionnelle pour ces mêmes dentistes. Bien que l'Ordre s'efforce d'utiliser un "pare-feu" entre le PLP et ses programmes de réglementation, cette divergence de mandat et de fonction est source de confusion tant pour le public que pour les dentistes et soulève des questions sur la manière dont nous pouvons remplir efficacement les deux mandats.   

    L'Ordre est également censé gérer ses ressources financières de manière responsable pour atteindre ses objectifs statutaires et son mandat réglementaire, et l'exploitation directe du PLP a posé certains défis à la situation financière du RCDSO, notamment la constitution d'une réserve d'exploitation adéquate pour les activités non liées au PLP.  

    Quelles sont les recommandations de la task force ? 

    Le rapport du groupe de travail a présenté un certain nombre d'options assorties d'avantages et de risques afin d'aider le Conseil à déterminer la meilleure option pour le RCDSO. 

    La task force a identifié trois options :  

    • Statu quo : Le RCDSO conserve la structure actuelle du PLP avec des modifications mineures qui pourraient atténuer les risques.  
    • Filiale : RCDSO crée une filiale, ce qui crée une séparation structurelle du mandat et des finances, tandis que RCDSO reste propriétaire du programme. 
    • Désinvestissement : Le RCDSO cesse d'offrir directement son programme de protection de la responsabilité au fil du temps et procède au transfert, à la vente ou à la suppression du programme. 

    Le rapport a fourni au Conseil un grand nombre d'informations pour l'aider à prendre cette décision.

    Quand en saurons-nous plus ? 

    Le RCDSO rendra compte des progrès accomplis lors de la prochaine réunion du Conseil en mars 2024. Nous continuerons à informer le public, les déclarants et les parties prenantes au fur et à mesure de nos progrès. 

    Le programme fonctionne bien depuis 50 ans, pourquoi changer maintenant ? 

    Un certain nombre de changements environnementaux, y compris les attentes du public, ont changé depuis la création du PLP. 

    Le RCDSO est l'un des rares ordres de réglementation de la santé au Canada à gérer directement un programme de responsabilité interne.   

    Au cours des dernières années, des articles négatifs dans les médias, l'évolution des attentes en matière de réglementation professionnelle et l'engagement du RCDSO à agir dans l'intérêt public ont amené le RCDSO à examiner les avantages, les risques et la pertinence de ce programme non légiféré en tant que département opérationnel de l'Ordre.  

    La mission et la fonction du PLP sont distinctes de celles du reste de l'Ordre, dont le mandat est de "servir et protéger l'intérêt public".  

    L'une des principales responsabilités de l'Ordre en matière de réglementation est de tenir les dentistes responsables des problèmes de conduite et de pratique ; le PLP est le principal fournisseur de protection contre la faute professionnelle pour ces mêmes dentistes. Bien que l'Ordre s'efforce d'utiliser un "pare-feu" entre le PLP et ses programmes de réglementation, cette divergence de mandat et de fonction est source de confusion tant pour le public que pour les dentistes et soulève des questions sur la manière dont nous pouvons remplir efficacement les deux mandats.   

    Si un événement financier majeur et inattendu devait se produire (dépassant le fonds de réserve actuel de 22 millions de dollars plus les 20 millions de dollars disponibles en réassurance), le RCDSO serait tenu de puiser dans ses réserves réglementaires ou d'imposer une redevance à la profession.  

    Quel sera le coût de la nouvelle protection contre la faute professionnelle pour les dentistes ? Et quelles seront les limites minimales exigées ? 

    Il est trop tôt dans le processus pour savoir ce que le nouveau propriétaire facturera pour la protection de la responsabilité. L'une des attentes du Conseil à l'égard du nouvel opérateur est que le coût soit juste et raisonnable. 

    À l'instar des autres ordres professionnels de santé de l'Ontario, le RCDSO imposera des limites minimales. Actuellement, les limites de responsabilité sont de 2 millions de dollars, ce qui est conforme aux exigences de la plupart des organismes de réglementation canadiens, bien que certains exigent des limites plus élevées.   

    Qu'adviendra-t-il du montant actuel de la cotisation annuelle ?  

    Sauf accord à court terme, le RCDSO ne percevra pas les cotisations annuelles pour la protection de la responsabilité civile une fois qu'un tiers gérera le programme. Une fois qu'un tiers aura été identifié, une analyse et un examen supplémentaires seront nécessaires pour évaluer l'impact sur la cotisation annuelle au RCDSO.  

    Quand ces changements entreront-ils en vigueur ? 

    La modification de ce programme de longue date prendra du temps. Le calendrier présenté au Conseil en décembre 2023 indiquait que janvier 2026 serait la date la plus proche possible pour la transition. La profession sera avertie au moins 12 mois à l'avance de toute modification du programme qui nécessitera une couverture alternative. 

    Que se passe-t-il si j'ai une réclamation ou si j'ai besoin de services de PLP ? 

    Les dentistes doivent continuer à contacter directement le PLP pour obtenir des conseils ou de l'aide concernant des demandes potentielles, nouvelles ou existantes, en ligne sur plp.rcdso.org ou à l'adresse info@plpservices.org

    J'ai d'autres questions sur les changements de PLP, qui puis-je contacter ? 

    Pour toute information générale, veuillez contacter le service de conseil pratique du RCDSO à l'adresse suivante practiceadvisory@rcdso.org ou appelez le 416-961-6555 ou le numéro gratuit 1-800-565-4591.